Ici chacun joue un rôle, comme dans une pièce de théâtre, Alois est Claude. L'Araignée, le Chef Trancy (père d'Alois). Et enfin, le Papillon n'est autre qu'Alois (Jim Macken).
Alois est "coincé" dans la toile du père (L'Araignée de la Reine), il a besoin d'aide. Claude arrive et l'arrache de l'emprise de ce pervers. Alois est sauvé...c'est ce que l'on croit ! L'aile qui lui est coupée représente sa liberté en quelque sorte. Il ne peut plus s'échapper.
Ensuite Claude crée à son "maître" un jardin miniature où il pourrait vivre en paix (en cage, surveillé et contrôlé comme une vulgaire marionnette).
Alois s'éprend (je vois ça comme ça) de son "sauveur" et c'est ce qui le conduit à sa perte et cause sa "mort".
Enfin, Alois "revient" (avec Ciel en guise d'hôte) et se venge de Claude en transformant Ciel en démon, l'empêchant ainsi de goutter à son âme, cette âme qu'il désirait plus que tout. Claude est donc déchiré.

Finalement, le point où la métaphore ne concorde pas avec la "realité" est le moment où Alois est trop sentimentaliste et offre une seconde chance à Claude puisqu'il lui permet (ou l'oblige, je n'ai pas très bien compris ce point là) de rester à ses côtés avec Lucas et Hannah à tout jamais.

kyaaaaaaaaaaaaaaa